Je ne crois pas en Dieu, comme je ne crois pas en la Mère l’Oie.–Clarence Darrow, Toronto, 1930
Il y a quelque chose de faible et de quelque peu méprisable chez
un homme qui ne peut faire face aux périls de l’existence sans l’aide de
mythes rassurants. –Bertrand Russell, Human Society in Ethics and Politics, 1955
Je crois qu’il est bien mieux de saisir l’univers tel qu’il est
vraiment, plutôt que de s’accrocher à une illusion, aussi satisfaisante
et rassurante soit-elle.– Carl Sagan, The Demon-Haunted World, 1995.
flagelle
Ces propos vous semblent familiers? Pas ces
citations, mais le message qu’elles renferment : que les chrétiens sont
des esprits faibles qui préfèrent les « mythes rassurants » à la
réalité. Tout comme moi, vous avez
probablement entendu ce message maintes et maintes fois. Le message
n’est peut-être pas aussi direct que dans les citations ci-dessus, mais
il est là, dans les livres, les films, les articles ou dans les
remarques désobligeantes d’étudiants ou de professeurs. Vous pouvez même
entendre ce message chez d’autres croyants qui font des pieds et des
mains pour rassurer tout le monde qu’ils ne sont pas comme « ces autres
chrétiens ». Mais croyez-le ou non, les choses n’ont pas toujours été
comme ça. Pendant près de deux mille ans, le christianisme a été une
force intellectuelle vitale.
Selon le mathématicien et philosophe William Dembski, de l’université
Baylor, « Dès le quatrième ou cinquième siècle après Jésus-Christ,
l’élite intellectuelle du bassin méditerranéen était composée de
chrétiens ». Et le christianisme est demeuré une force intellectuelle
vitale jusqu’à la fin du 19e siècle, lorsque les penseurs païens, aidés
en partie par la théorie de l’évolution de Darwin, ont pris le dessus.
William Dembski
Depuis, les choses se sont corsées pour les
chrétiens. Dembski affirme : « Depuis 100 ou 150 ans, plus longtemps
peut-être, les chrétiens qui ont conservé une position chrétienne
orthodoxe ont été vraiment malmenés. Et nous n’avons pas réussi à
détrôner certaines idéologies qui vont à l’encontre de la foi
chrétienne, des idéologies qui minent et renient cette foi.»
Ainsi, les penseurs païens ont depuis longtemps déclaré les chrétiens
coupables de mort intellectuelle. Mais certains faits laissent entendre
que ce jugement pourrait avoir été porté trop vite. Dembski poursuit : «
Je vois de nombreux signes prometteurs qui montrent que les chrétiens
retrouvent leur vitalité intellectuelle ». La controverse qui entoure
les origines biologiques est un de ces signes particulièrement
prometteurs. Pendant des dizaines d’années, la théorie de l’évolution de
Darwin a fait la pluie et le beau temps. Mais son règne est maintenant
menacé par un noyau croissant de scientifiques et d’autres intellectuels
qui font la promotion d’un point de vue appelé « création intelligente
». Bien que ce point de vue ait rencontré une forte opposition, il gagne
beaucoup de terrain et attire l’attention de grands penseurs de ce
monde.
VOIR C’EST CROIRE… OU NE PAS CROIRE Avec la controverse qu’a suscitée la création intelligente, vous avez
probablement entendu parler de cette théorie à quelques reprises. Mais
qu’est-ce que c’est au juste?
La création intelligente est basée sur l’observation, probablement
aussi vieille que l’humanité, que le monde semble vraisemblablement
résulter d’une cause intelligente. C’est sûrement ce qu’ont conclu de
nombreux philosophes grecs. L’un des premiers, Anaxagore, a conclu
durant le cinquième siècle avant Jésus-Christ qu’il y a une cause
intelligente qui ordonne… tout ce qui fut… et tout ce qui est et tout ce
qui sera.
Cette création intelligente est aussi évidente aujourd’hui qu’il y a 2
400 ns, surtout dans le monde vivant. Des découvertes récentes en
biologie ont révélé que ce monde était d’une complexité renversante.
Prenons par exemple la cellule. Dans le temps de Darwin, les
scientifiques croyaient que les cellules étaient des éléments assez
simples, rien de plus que des masses de protoplasme. Même dans les
années 1960, les scientifiques ignoraient en grande partie à quel point
la cellule est complexe. En faisant le point sur sa carrière de
biologiste cellulaire, Bruce Alberts, maintenant président de la
National
Academy of Sciences, a affirmé ce qui suit dans un article du
journal scientifique
Cell :
Nous avons toujours sous-estimé la cellule. Il ne fait aucun
doute que nous la sous-estimons encore aujourd’hui. Mais au moins, nous
ne sommes plus aussi naïfs qu’à l’époque où j’étais étudiant des cycles
supérieurs dans les années 1960.Selon nos connaissances actuelles, Alberts affirme : « la cellule
entière peut être vue comme une usine contenant un réseau perfectionné
de chaînes de montage imbriquées, chacune étant composée d’un ensemble
de grosses machines de protéines ».
La description d’Alberts n’est pas une métaphore improvisée. Même si
les plus petites cellules sont munies de matériel de pointe que les
scientifiques essaient toujours de comprendre. À l’extérieur, leur
surface est truffée de senseurs, de portes, de pompes et plaque
d’identité. Certaines bactéries ont même des moteurs hors bord rotatifs
dont elles se servent pour naviguer dans leur milieu.
À l’intérieur, les cellules sont remplies à craquer de groupes
électrogènes, d’ateliers automatisés et d’unités de recyclage. Des
monorails miniatures font circuler des pièces et des matières d’une
partie à l’autre de la cellule.
Certaines machines de la cellule travaillent à une vitesse et avec
une précision incroyables. Par exemple, lorsqu’une bactérie se divise,
elle doit reproduire tout son ADN. Les biologistes Tania Baker et
Stephen Bell du Massachusetts Institute of Technology décrivent ce
processus de façon éloquente. Dans la revue
Cell, dans le même
numéro que l’article d’Alberts, ils font remarquer que si la chaîne
d’ADN d’une bactérie
E. coli avait l’épaisseur d’environ un
mètre, les machines qui copient l’ADN auraient environ la taille d’un
camion de livraison FedEx. Par contre, contrairement à un camion, ces
machines parcourreraient la chaîne à environ 600 kilomètres à l’heure.
De plus, en copiant l’ADN, elles feraient seulement une erreur tous les
170 kilomètres. Cette complexité et cette efficacité ont amené même les
athées les plus convaincus à admettre que les organismes vivants
semblent avoir été créés. Francis Crick, lauréat d’un prix Nobel et
codécouvreur de la structure de l’ADN, a déclaré ce qui suit : « les
biologistes doivent constamment se rappeler que ce qu’ils voient n’est
pas le fruit d’un concepteur, mais plutôt de l’évolution ».
Évidemment, comme le laissent entendre les commentaires ci-dessus,
les biologistes tels que Crick considèrent que l’apparence de création
n’est qu’une illusion. Ils affirment qu’en réalité, cette création
apparente est le résultat de processus darwiniens aléatoires de mutation
génétique et de sélection naturelle, ou encore de la survie du plus
fort.
ON DIRAIT UN CANARD…*Par contre, les tenants de la création intelligente soutiennent que
les organismes vivants semblent avoir été créés parce qu’ils ont été
créés et qu’ils présentent une certaine complexité qui ne peut être
imitée par des processus naturels aléatoires. Cette sorte de complexité
est appelée complexité spécifiée. Ce concept est une idée de Dembski,
née de son intérêt sur la façon dont nous distinguons les événements qui
sont « simplement arrivés » de ceux qui se produisent « par exprès ».
Demski affirme : « Un certain type de raisonnement revenait sans cesse
lorsque les gens essayaient d’expliquer les effets de l’intelligence par
des causes naturelles. Ils cherchaient une combinaison de complexité et
de spécification. Et ces deux éléments réunis constituent un lien
fiable à la notion d’intelligence. »
Qu’entend-on par complexité et spécification?Prenons l’exemple de l’écriture. Que penseriez-vous si je vous disais
que j’ai écrit cet article en tapant des lettres de façon aléatoire
dans mon logiciel de traitement de texte, que j’ai choisi chaque lettre
en fermant les yeux et en lançant une fléchette sur une image de
l’alphabet? Me croiriez-vous? Non. Et pourquoi pas?
D’une part, les probabilités sont trop minces. Mon article aurait pu
prendre tellement de formes différentes, il y a tant de façons dont les
lettres et les espaces auraient pu se placer que la probabilité
d’obtenir le présent article est pratiquement nulle. Mais ce n’est pas
qu’une question de probabilités. Par exemple, que penseriez-vous si je
vous montrais un « article » avec des « phrases » comme celles qui
suivent :
BInnngqZAMzqeGOXsyfmrt exrNygRRGNnFGuMLMTYqXxWOR NBwIGVous croiriez probablement à mon histoire. Pourquoi? À cause de la
disposition que vous voyez. Le premier article, celui que vous lisez
maintenant, correspond à un modèle reconnaissable. C’est un article
rédigé en français, mais le charabia ci-dessus ne correspond pas à un
tel modèle. À ce que je sache, il s’agit seulement d’une longue suite
aléatoire de lettres.
Maintenant, vous êtes en mesure de comprendre les termes
spécification et complexité. Lorsqu’un théoricien de la création
intelligente dit qu’un objet est spécifié, il veut dire qu’il correspond
à un modèle reconnaissable. Et lorsqu’il dit qu’il est complexe, il
veut dire qu’il aurait pu prendre tellement de tournures différentes que
les probabilités d’obtenir une telle combinaison par hasard sont
pratiquement nulles. Par conséquent, nous voyons la création dans cet
article (prière de vous abstenir de remarques) parce qu’il est à la fois
spécifié et complexe. Nous ne voyons pas une telle création dans l’ «
article » de charabia ci-dessus. Bien qu’il soit complexe, il ne répond à
aucun modèle.
Ce raisonnement s’applique non seulement aux articles et aux livres,
mais aux autres objets également. Pensez à un arbre sculpté en forme de
personnage de Disney. Y a-t-il eu une création? Bien sûr que oui. Les
branches, feuilles et rameaux peuvent pousser de bien des façons. Mais
la probabilité qu’ils croissent en forme de Mickey Mouse par exemple est
tellement mince que nous en concluons qu’il y a eu création.
UN NOUVEL ÉCLAIRAGE Dembski fait remarquer que l’efficacité de cette pensée a été
constamment confirmée par l’expérience. Il affirme : « Dans tous les cas
où nous trouvons la complexité spécifiée et où l’historique de la cause
sous-jacente est connu, on constate effectivement qu’il y a eu création
». Si nous pouvions retracer complètement la création d’un livre par
exemple, nos recherches nous amèneraient éventuellement à l’auteur. De
même, si des archéologues pouvaient retracer la création d’une pointe de
flèche ou d’un outil agricole, leurs recherches les conduiraient à la
personne qui les a fabriqués. Mais qu’en est-il des organismes vivants?
Les darwiniens, comme le biologiste d’Oxford Richard Dawkins, se moquent
de cette notion, affirmant que l’évolution naturelle est un fait
indéniable.
Dans une lettre récente à un journal britannique, Dawkins affirme : «
Le fait de l’évolution est au-dessus de tout doute raisonnable et
éclairé; il est fortement appuyé par les fossiles et la distribution
géographique et, de façon encore plus concluante, par les observations
de la génétique moléculaire moderne ». Par contre, les tenants de la
création intelligente soutiennent que cette affirmation est basée sur
une lecture sélective des faits.
Phillip Johnson, professeur émérite de droit à l’université de
Californie à Berkeley et dirigeant reconnu du mouvement de la création
intelligente, est l’auteur de Darwin on Trial (le procès de Darwin) et
de
Defeating Darwinism by Opening Minds (déjouer le darwinisme
en éveillant l’esprit). Johnson affirme : « On répète constamment ce
type d’affirmation, mais ce n’est tout simplement pas vrai. Le registre
fossile n’a jamais confirmé l’évolution de Darwin. De plus, les
affirmations voulant que la sélection naturelle puisse engendrer de
nouveaux organes, membres ou parties du corps ne sont pas confirmée par
la preuve expérimentale. »
Loin d’être basées sur des faits, ces affirmations reposent sur
l’impossibilité présumée de toute théorie non naturaliste. Johnson
ajoute : « Pour les darwinistes, seules les théories naturalistes sont
admissibles. Étant donné que le darwinisme est la meilleure théorie
naturaliste, elle doit être vraie et ne peut donc être réfutée par
aucune preuve. Je vois constamment ce genre de raisonnement. »
Les découvertes en biologie moléculaire rendent
toutefois ces arguments plus difficiles à soutenir. Plus nous arrivons à
manipuler les machines des cellules, plus il est difficile de croire
qu’elles tirent leur origine de mutations aléatoires et de la sélection
naturelle. Par exemple, prenons le petit moteur hors-bord rotatif que
les bactéries, comme l’
E. Coli, utilisent pour naviguer dans
leur milieu. Cette formation, qu’on appelle la flagelle, est équipée
d’un moteur réversible complet (avec rotors, stators et roulements),
d’un arbre de transmission, d’un joint universel, et d’une longue hélice
en forme de fouet. Ce moteur peut exécuter jusqu’à 100 000 tours par
minute. Le flagelle est d’une complexité inouïe. Selon le
microbiologiste Scott Minnich, de l’université de l’Idaho, on a besoin
d’environ 50 gènes pour créer un flagelle fonctionnel. Chacun de ces
gènes est aussi complexe qu’une phrase contenant une centaine de
lettres.
Des études poussées ont démontré que la flagelle est aussi très bien
spécifiée : le modèle requis pour qu’un système soit fonctionnel est
extrêmement précis. Minnich affirme : « Des mutations survenant dans un
seul gène suffisent à bloquer ou, dans des cas de mutations mineures, à
diminuer les fonctions. Par conséquent, pour naviguer, il faut un
ensemble complet de gènes. Il n’existe aucune étape intermédiaire. » Un
tel système va à l’encontre des explications darwiniennes. Et plus on
découvrira de cas semblables, plus le darwinisme sera difficile à
soutenir.
CENTIMÈTRE PAR CENTIMÈTRE L’un des principaux objectifs des tenants de la création intelligente
est de faire de cette théorie un sujet de discussion légitime dans les
principaux cercles intellectuels et dans la culture en général. Johnson
affirme : « Je crois que l’étape la plus importante est de faire
ressortir les bonnes questions de façon objective. Une fois cela
accompli, il sera impossible de continuer à nier que le darwinisme est
basé sur une philosophie naturaliste plutôt que sur des expériences
scientifiques, et qu’une évaluation objective des preuves scientifiques
conduit à l’existence de causes intelligentes en biologie. »
Les nouvelles transmises par les médias du pays témoignent de
l’ampleur des progrès accomplis par les tenants de la création
intelligente. De nombreux journalistes tombent encore dans les
stéréotypes de la science traditionnelle contre la religion
fondamentaliste, mais d’autres pour qui ces arguments sont peu
convaincants commencent à chercher plus loin.
Résultat : davantage d’articles mieux équilibrés, dont deux articles
remarquables parus cette année en première page du Los Angeles Times et
du New York Times. Selon Johnson, ces articles démontrent que la
création intelligente a finalement « établi une tête de plage (une
percée) » dans la culture populaire. La création intelligente gagne
aussi du terrain auprès des intellectuels.
En avril 2000, un groupe d’éminents scientifiques et philosophes
d’Europe et des Etats-Unis s’est réuni à l’université Baylor. Ce groupe
comprenait deux prix Nobel et plusieurs membres du
National Academy
of Sciences. Ils étaient là pour participer, en compagnie de
plusieurs théoriciens de la création intelligente, à une conférence sur
la création intelligente.
Bien qu’aucun d’entre eux ne soit reparti en croyant à la création
intelligente, il est clair que cette conférence a donné matière à
réflexion à un bon nombre. Et presque tous les participants ont trouvé
les échanges constructifs et valables. Même que lors d’un dîner pour les
conférenciers, l’un des lauréats du prix Nobel a porté un toast à la
conférence, soulignant que malgré les opinions fort divergentes des
conférenciers, les discussions avaient été menées avec patience, humour
et même avec « création intelligente ».
Comme l’a fait ressortir l’un des théoriciens de la création
intelligente, la conférence a clairement démontré que la création
intelligente gagnait du terrain en tant que concept scientifique
sérieux, un concept qui mérite même l’attention des plus grands esprits
de notre monde. Un courriel qu’il a envoyé à plusieurs collègues
résumait bien les sentiments de nombreux participants : « Nous entrons
dans une nouvelle ère, chers amis. Tenez-vous prêts. »
VIVE LA RÉVOLUTIONÉvidemment, la création intelligente a encore beaucoup de chemin à
faire avant d’être généralement reconnue, et il se peut même qu’elle ne
le soit pas. Mais si elle l’est, les tenants de la création intelligente
disent que les conséquences pourraient être révolutionnaires. Le
philosophe des sciences Paul Nelson, agrégé supérieur de recherches au
Discovery
Institute de Seattle et une personnalité marquante du mouvement de
création intelligente, affirme : « À une certaine époque, la
rationalité… du théisme était tenue pour acquis. Le monde était ainsi.
Puis, pour diverses raisons, les choses ont changé. »
Les choses ont évolué au point que même ceux qui voulaient confirmer
la valeur historique des écritures ont eu tendance à voir leur foi comme
subjective et ont accepté la dichotomie culturelle entre « foi » et «
connaissance ». Nelson ajoute : « La création intelligente remet en
question cette dichotomie. Elle soutient que nous pouvons savoir
objectivement, scientifiquement, qu’il existe une intelligence à
l’origine de la vie. »
Johnson acquiesce : « La société laïque, et surtout les
établissements scolaires, a considéré tout au long du 20e siècle que la
religion chrétienne était simplement le vestige d’époques
superstitieuses. Par contre, avec le succès que connaît la création
intelligente, nous comprendrons que, en dépit des détails, les chrétiens
ont eu toujours eu raison, du moins en ce qui concerne les principaux
éléments de l’histoire, comme la création divine. Et je crois que ce
fait changera la façon dont la société voit la connaissance et les
éléments qui méritent d’être connus. » Selon Johnson, il ne sera plus
plausible d’argumenter que les « idées chrétiennes n’ont pas leur place
dans l’éducation publique, dans les assemblées législatives et dans les
débats publics en général ».
Cette possibilité redonne déjà de la vigueur à de nombreux chrétiens.
Johnson affirme : « Le 20e siècle a été l’époque du matérialisme
scientifique. Avec l’avènement du 21e siècle, le matérialisme
scientifique craque sous la pression. Ses opinions scientifiques ne
tiennent plus la route et il est prouvé qu’elles sont néfastes pour la
société. Je trouve excitant de constater que nous avions peut-être une
meilleure compréhension de la vérité lorsque nous étions un pays
chrétien que durant les décennies où les vérités chrétiennes ont été
rejetées. »
Évidemment, nous avons encore beaucoup de pain sur la planche. Mais
un vent de changement a commencé à souffler. Et si vous êtes l’un de ces
chrétiens « superstitieux », vous vivez dans une magnifique époque.
*Ce titre vient d’un expression anglophone « If it looks like a
duck, quacks like a duck, then it probably is a duck» – « S’il a
l’allure d’un canard, coin-coin comme un canard, alors il est
probablement un canard
الجمعة سبتمبر 07, 2012 12:46 pm من طرف هشام مزيان