« Ne crois rien parce qu'on t'aura montré le témoignage écrit de quelque sage ancien.
Ne crois rien sur l'autorité des maîtres ou des prêtres.
Mais ce qui s'accordera avec ton expérience et après une étude approfondie satisfera ta raison et tendra vers ton bien,
cela tu pourras l'accepter comme vrai et y conformer ta vie. » Bouddha
« Une erreur n'est pas une vérité parce qu'elle est partagée par beaucoup de gens,
tout comme une vérité n'est pas fausse parce qu'elle est émise par un seul individu. » Gandhi
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Mercredi 21 avril 2010 3 21 /04 /2010 08:45
Est-ce qu'une croyance peut créer une Maladie ? Nicole témoigne ci-dessous de la véracité de cette question.
Pendant plus de quarante ans, j’avais régulièrement, ce qu’on appelle « un rhume ». J’attrapais le rhume une à deux fois par an, qui durait trois à quatre jours. Je lus un jour qu’un rhume est en réalité un nettoyage du mucus accumulé dans les divers canaux entre le nez, les oreilles et les sinus.
La croyance
J’ai cru et accepté cette théorie et depuis, je n’ai plus eu de rhumes. J’ai réduit mes rhumes de trois ou quatre jours à un « nettoyage » de deux heures. Tout ceci a pu se faire grâce à la croyance. J’ai réellement cru qu’il s’agissait d’un nettoyage et non d’un rhume. Depuis ce jour-là Je n’ai plus jamais eu de rhume. Une fois par an mon nez coule pendant une heure ou deux et c’est tout. J’ai pris la responsabilité, de ce que je croyais et de ce que mon corps manifestait. Cela m’a permis de changer de schéma et de ne plus être victime du « froid ».
Pendant les nombreuses années durant lesquelles j’ai travaillé à l’hôpital, de nombreux gynécologues prescrivaient des mammographies annuelles afin de pouvoir détecter un cancer éventuel. La première année qu’une femme venait pour la mammographie, les résultats ne montraient rien. Cependant cette « recherche » créait chez la personne une attente négative. Trop souvent les visites suivantes révélaient exactement ce qui était recherché : la maladie et non le bien-être. Ce côté préventif partait de bonnes intentions. Nous connaissons maintenant les effets désastreux des radiations combinés au stress, à la peur du cancer déclenché par les rayons X. Tous les ingrédients étaient là pour permettre au cancer de se développer dans les années à venir. Je pense qu’il y a d’autres moyens de déceler les anomalies et maux de notre corps ; le toucher est l’une d’elle, c’est simple et facile. La douleur: La douleur se manifeste pour nous permettre de comprendre qu'un déséquilibre existe. Il est important de reconnaître les déséquilibres, mais également de ne pas en être obsédés.
La douleur est la façon dont notre corps s’exprime, lorsque quelque chose ne vibre pas à un rythme idéal, et que l’énergie est bloquée. La douleur est vraiment un outil merveilleux qui nous empêche d’abuser de notre corps. C’est un signe qui nous dit, « Portez attention ! » Ce n’est pourtant qu’un aspect de la loi de cause et effet, et c’est très difficile à ignorer.
Lorsque nous prenons une pilule pour réduire la douleur, nous engourdissons la douleur. Nous ne résolvons pas la cause du problème. Si c’est une condition chronique, souvent, plus de pilules sont nécessaires pour contrecarrer les effets secondaires des différentes pilules. Ensuite, la prochaine chose que l’on se fait dire c’est que l’on a besoin de chirurgie pour enlever le problème. Si nous n’adressons pas la cause du problème, un autre problème va faire surface. On peut croire que le second problème est différent (même si la manifestation est différente) mais l’origine du problème est le même. Nous devons nous occuper de la cause si nous voulons éliminer la maladie.
Imaginez une gamme de la santé physique allant de 0 à 100. 1 % représente la quasi mort et 100 % la santé optimale. La majorité des gens sont dans les 50, très près de la ligne frontalière de la maladie, comme vous pouvez le constater avec une toute petite résistance à la maladie. Nous ne sommes pas, cependant, dans la douleur, mais si nous sommes tendus, nous allons tomber dans les quarante, et ainsi expérimenter la douleur. Sans les ajustements nécessaires, nous finissons par arriver dans un état de maladie chronique et ainsi notre niveau descend encore plus bas. Pour la plupart d’entre nous, notre but est de ne pas avoir de douleur, ce qui équivaut à 50 sur l’échelle de la santé, ce qui n’est pas très haut en vérité.
La qualité de la vie est atteinte lorsque nous pouvons maintenir un niveau optimal allant de 80 à 100. À ce niveau, même les plus grosses tensions ne nous rendent pas malade, et ce, même si nous tombons de dix points. Nous sommes ainsi plus capables de contrôler les événements de notre vie plus facilement et avec plus de grâce.
Le pouvoir de notre pensée: Souvenons-nous que nous recevons ce sur quoi nous portons notre attention. Lorsque nous donnons notre pouvoir et notre attention à un dérèglement, nous nous engageons à rester ainsi. Nous réaffirmons constamment le problème de la maladie en nous concentrant dessus. En nommant le problème, nous avons tendance à nous identifier à lui.
Un exemple de cela est le nom que nous donnons aux personnes qui ont contracté certaines maladies. Lorsque quelqu’un déclare « je suis asthmatique », le problème est réaffirmé chaque fois que cette phrase est prononcée. Il serait plus avantageux de se concentrer sur des changements positifs qui apporteront l'équilibre et un retour à l’harmonie. Chaque fois que nous nous identifions à quelque chose, nous lui transférons du pouvoir ; là où va l'attention, l'énergie suit. Le lien émotionnel peut être une profession, un partenaire, une situation, un problème ou une maladie : « Je suis un conducteur de camion », « je suis en faillite » ou « je suis sans abri ». Lorsque nous nous identifions de cette manière, nous perdons souvent le sens de Soi et donc notre pouvoir personnel. Chacun de ces liens devient notre réalité. Ils limitent notre « être ». En apprenant le détachement plutôt que l'assujettissement, nous apprenons à gérer nos émotions. Plus nous sommes détachés, plus puissants nous sommes.
La programmation négative: Refuser de se concentrer sur une de nos faiblesses constitue un autre aspect important de ce concept parce que ce sur quoi nous nous concentrons s'accroît. Si, par exemple, nous disons constamment à quelqu'un qu'il est stupide, il finira par le croire et agira stupidement. Si nous nous répétons quelque chose jour après jour, cela se produira et nous deviendrons ce que nous disons être, même s’il s’agit d’une blague, le subconscient ne faisant pas la différence entre une vérité et une blague. C’est ce qu’on appelle une programmation négative.
Le pouvoir de l'amour:
Il n'existe qu'un seul pouvoir et c'est celui de l'amour. Toutes les pensées positives d'harmonie, d'équilibre, de beauté, de joie, de bonheur, d'abondance, etc. sont notre droit inné et ce que nous pouvons choisir d'amener dans nos vies. Des affirmations positives ressenties pavent notre chemin d'une vie joyeuse et saine.