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 • Un matérialisme du signi

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فدوى
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فدوى


التوقيع : •  Un matérialisme du signi I_icon_gender_male

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13022016
مُساهمة• Un matérialisme du signi

n matérialisme du signifiant ?

De ce matérialisme du signe ou du signifiant, on peut penser que, sous des formes variées, il constitue l'horizon philosophique d'une génération. Il détermine en effet deux directions majeures de la philosophie contemporaine dans ses rapports au structuralisme.

La mise à jour d'un ordre du symbolique

Le symbolique n'est pas seulement structuré, ce qui conduirait à chercher l'origine ou le fondement de sa structuration dans une démarche historique ou génétique, mais structurant, ce qui amène à questionner sa logique et à décrire les lieux de son efficace. La reconnaissance d'un tel « ordre » oriente dans des directions variées la critique philosophique de la notion de représentation, qui informe depuis longtemps tous les débats philosophiques sur la connaissance et, depuis la fin du XIXe siècle, sur les productions humaines en général. Une série d'alternatives porte alors cette critique.
Conscient/inconscient. Ce thème, introduit par Lévi-Strauss dans le débat structuraliste dès Les Structures élémentaires de la parenté, est hérité du développement des sciences humaines depuis le début du XIXe siècle, et sans doute de celui des statistiques depuis leXVIIIe. L'enquête de Durkheim sur le suicide visait déjà à montrer que l'acte qui passe pour la manifestation la plus radicale du libre arbitre d'un sujet, obéissait aussi à des lois déterminantes (structurales ?) dont ne rendait pas compte l'autonomie supposée des individus. Par ailleurs, une part non négligeable des débats de la linguistique de la fin duXIXe siècle porte sur le statut psycho-ontologique (naturel opposé à historico-social, conscient opposé à inconscient) des grandes lois phonétiques, et aboutira à la formulation des dichotomies saussuriennes (langue/parole, diachronie/synchronie). Dans le contexte de l'après-guerre, toutefois, et notamment avec l'intervention de Jacques Lacan, le concept « d'inconscient » a acquis avec la psychanalyse un autre statut. On pourrait dire que le structuralisme fait converger alors sur la notion d'inconscient deux conceptions d'undéterminisme spécifique mis à jour en linguistique, en sociologie, en anthropologie, en économie politique d'une part, et dans les premiers travaux de Freud de l'autre : le sujet n'est pas contraint seulement « de l'extérieur », par des faits sociaux de type durkheimiens, il l'est aussi de l'intérieur, par une « force » qui est en lui (qu'on songe à l'interprétation freudienne de l'hystérie comme effet d'un « déterminisme psychique »). Cette force échappe à toute identification parce qu'elle ne relève pas de la simple intériorisation d'une norme (Durkheim, Mauss) mais bien d'un dynamisme radicalement conflictuel du psychisme humain, d'une économie, descriptible dans une topologie dynamique (conscient/préconscient/inconscient, puis moi/ça/surmoi). Dans la reprise structurale de la question chez Lacan, la fameuse formule « l'inconscient est structuré comme un langage » substitue à la notion obscure de « force » (de l'affect ou de la pulsion) celle de l'efficace symbolique d'une structure, à la notion de déterminisme, le graphe d'un glissement des signifiés « aspirés » par une place vide sous la chaîne signifiante. Plus généralement, l'approche structuraliste des instances du sujet et de la société manifeste une attention soupçonneuse vis-à-vis des catégories de « causalité » et de « détermination », en portant son intérêt sur les phénomènes de surdétermination, de détermination « en dernière instance » (de l'économique sur le social, le politique, l'idéologique chez Althusser), ou de causalité métonymique, c'est-à-dire d'une causalité présente dans et par ses effets
Intuition/concept. L'œuvre de Jean Cavaillès, sa critique de la phénoménologie reposent sur la promotion « d'une philosophie du concept » contre une philosophie du sujet, et jouera le rôle d'un manifeste pour une « sortie » de la phénoménologie et des philosophies de la conscience en général. L'orientation épistémologique très marquée du structuralisme en philosophie va trouver ici l'une de ses motivations les plus fortes. En particulier, l'épistémologie historique de Koyré et Bachelard, qui cherche à promouvoir une nouvelle représentation de la vérité, de la science et de la rationalité, se radicalise dans cette orientation à partir des notions de « coupure » ou de « refonte » épistémologiques.
Sens/structure. La conception saussurienne de la langue et ses reprises dans la linguistique structurale (en particulier celle de Hjelmslev et de la glossématique) seront interprétées comme l'affirmation de la primauté de la structure sur le sens. Dans la langue conçue comme un système de signes arbitraires, le signifié n'est pas le référent, et la valeur d'un signe, seule entité « positive » de la langue, lui est conférée par la série paradigmatique dans laquelle il s'insère, ainsi que dans les rapports syntagmatiques qu'il entretient avec les autres signes. Il ne s'agit plus seulement de dire que la forme précède le sens, mais que le sens est l'effet superficiel, second, décalé d'une forme virtuelle qui à la fois l'organise et le défait.
Le symbolisme des structuralistes n'a plus rien à voir alors avec les symboles d'un Mircea Eliade ou d'un Carl Gustav Jung. Il ne s'agit plus de la projection psychologique plus ou moins universelle de valeurs attachées à un groupe ou à une mentalité, voire un individuisolé, mais d'unités élémentaires dénuées de sens en elles-mêmes, produites par des systèmes culturels historiques variables dans le temps et l'espace, ou encore par l'histoire d'un sujet, c'est-à-dire d'un procès de « subjectivation ».
Si le Cours de linguistique générale et les linguistiques structurales qui en sont plus ou moins issues ont pu passer pour un fondement du structuralisme (mais la référence est parfois superficielle, souvent dérivée, toujours à interpréter), c'est bien sûr parce qu'une fois reconnu le rôle du langage comme infrastructure de la culture, le paradigme sémiologique offrait à la réflexion philosophique l'idée d'une science générale des signes, c'est-à-dire la reconnaissance d'une médiation non substantielle entre le sujet et le monde, susceptible de mettre en crise, sous l'égide de la science (opposée à la philosophie ou à l'idéologie) et de la forme (opposée à la substance psychique ou socio-historique), à la fois l'ontologie, la psychologie rationnelle issues de la tradition, et la psychologie positive, voire un certain héritage de Freud déjà figé en orthodoxie dans la psychanalyse « officielle ».
C'est le concept de « signe », librement et diversement adapté de Saussure, plus rarement emprunté à Peirce, qui porte alors la charge de la critique des philosophies de la représentation. Dans le signe saussurien, on reconnaît l'élément premier d'une structure, élément qui ne possède par lui-même, à l'état isolé, ni référence extrinsèque dans le monde ni signification intrinsèque, les deux faces du signe (signifiant et signifié) ne tirant leur valeur propre que de la position qu'elles occupent dans la structure différentielle qui leur préexiste virtuellement. Cette critique de la représentation peut même inclure chez certains la critique du concept saussurien de signe lui-même, concept qui reconduirait à travers la distinction entre signifiant et signifié toute la tradition philosophique des deux mondes (matériels et spirituels pour Derrida). Chez Lacan, la refonte est plus ou moins explicite, et conduit à la primauté du seul signifiant. La triade lacanienne du Réel, de l'Imaginaire et du Symbolique, au-delà de son intérêt stratégique dans la sphère psychanalytique, entend d'abord affirmer l'existence d'un tiers entre les deux membres du couple traditionnel dans notre culture de l'imaginaire et du réel : le symbolique du structuralisme n'est ni le réel de l'objectivité ni la projection imaginaire d'un moi ; il n'est pas réel mais il n'est pas non plus imaginable. Évoquant la topique freudienne du ça, du moi et du surmoi, la trilogie lacanienne la modifie fondamentalement en conférant au symbolique la charge de la gestion de l'appareil psychique, qui n'est plus déterminé par la dynamique cachée de l'enfer pulsionnel de forces obscures, mais structuré à fleur de discours dans les défilés du signifiant, les heurs et malheurs du discours, sous la loi des noms du père.

Le sujet en question

Ce privilège accordé au symbolique conduit à la reprise critique du thème du transcendantal issu de Kant et de Husserl, à travers la mise en cause du sujet. Ce que les philosophes croient pouvoir reconnaître à travers la mutation des sciences humaines depuis le début du siècle, c'est la possibilité – apparue indépendamment du pouvoir d'auto-imposition traditionnel de la philosophie – de poser à nouveaux frais la question d'un terrain commun où les rites, les mythes, les formes du vivre ensemble, les jeux de l'enfant, l'aptitude spécifiquement humaine à utiliser des codes arbitraires, à rêver, à parler des langues... s'articulent dans une « fonction » unique. Seul, Jean Piaget essaiera de donner une existence positive à cette fonction symbolique, ce qui le conduira vers un « structuralisme génétique » plus proche des développements cognitivistes contemporains que du structuralisme des années 1960 et 1970. Mais on en présuppose l'existence de toute part dans la constellation structuraliste.
Sur le plan philosophique, c'est l'existence, le statut et le mode opératoire propre de cette fonction qui demandent alors à être problématisés, dans la mesure où ce qui passait auparavant pour des « représentations » (idées classiques, images, associations, symboles...) d'un « sujet » saisi dans le « jeu » de ses facultés premières (entendement, sensibilité, imagination, raison) ou dans le dynamisme de sa conscience (l'intentionalité husserlienne) pourrait ne plus apparaître que comme effet de système, de structure.
Là encore, Cassirer, le premier, dans le cadre d'un kantisme élargi et à partir de la notion de « formes symboliques », a proposé dès les années 1920 et 1930 l'idée d'un « monde intermédiaire » (Zwischenreich) entre l'esprit et le monde. Il a envisagé, sans mener à bien son projet, l'unité de l'esprit dans la diversité de ses œuvres (la langue, le mythe, la religion, la science, l'art), proposé un principe « formel » d'organisation dynamique de ses activités (la « fonction » empruntée aux mathématiques), indiqué enfin l'horizon de sa recherche : la genèse des significations, dans ce qu'il nomme à la fin de sa vie la logique des sciences de la culture. On peut penser que les cadres généraux du paradigme sémiologique ou sémiotique du structuralisme se mettent alors en place. Ils s'inscrivent sur le terrain d'une philosophie de la culture, extraordinairement exigeante dans sa forme et son étendue, parce qu'elle refuse, contrairement aux développements plus faciles d'un Dilthey en Allemagne ou d'un Brunschwig en France, d'entériner une coupure totale entre la culture scientifique et technique d'une part, et la culture lettrée de l'autre, bref, entre « connaître » et « comprendre ». Dès La Structure du comportement (1942) et Phénoménologie de la perception (1945), avec la notion de « forme » inspirée de la Gestalt des psychologues, puis enfin, dans Signes (1960), avec la notion de structure empruntée aux sciences humaines (Mauss, Saussure, Lévi-Strauss), Merleau-Ponty, de son côté, prend acte d'un « régime de pensée qui, dans tous les domaines, répond à un besoin de l'esprit ». Il en précise ainsi l'enjeu : « Pour le philosophe, présente hors de nous dans les systèmes naturels et sociaux, en nous comme « fonction symbolique », la structure indique un chemin hors de la corrélation sujet-objet qui domine la philosophie de Descartes à Hegel. » À partir de Signes au moins, il ne s'agit plus pour Merleau-Ponty de penser comment, transcendantalement, sont produites les structures (cette tâche est encore celle de Cassirer), mais bien selon quel type de nécessité celles-ci régissent l'existence empirique.
Dans cet ordre de préoccupations, le structuralisme entend sans doute franchir un pas de plus, que Merleau-Ponty ne fait qu'esquisser. Lorsque Foucault par exemple prend pour objet d'analyse la mort, le désir, le travail ou le jeu, c'est pour montrer que ces déterminations accessibles immédiatement à l'expérience ne sont que des effets de position ou de place dans un ordre assigné par la structure d'une culture particulière qui la définit. Il entend bien proposer ainsi une nouvelle répartition de l'empirique et du transcendantal. Avant lui, Lévi-Strauss avait dégagé dans Les Structures élémentaires de la parenté des unités de position (des atomes de parentés) équivalentes aux phonèmes de la linguistique, que les sujets empiriques viennent remplir en prenant place dans une combinatoire purement abstraite qui les détermine dans leur singularité même. Dans le marxisme althussérien, les rapports de production sont également désubstantialisés en rapports purement différentiels qui ne concernent pas initialement des individus concrets (les « hommes » des humanismes traditionnels), mais des fonctions, des objets, des agents dans l'ordre symbolique (instrument de production, force de travail...), pris dans des processus d'appropriation. À partir de 1961, avec le séminaire sur L'Identification, puis en 1964, avec celui sur Les Quatre Concepts fondamentaux de la psychanalyse, Lacan non seulement formule la version la plus radicale de la conception structuraliste du sujet en faisant « du signifiant un sujet pour un autre signifiant », mais il réalise ainsi la convergence entre une conception maximaliste de l'ordre symbolique et une conception minimaliste du sujet : si l'ordre des choses s'institue à partir de l'ordre des discours, « la trame du monde s'inscrit donc à partir d'un manque central, condition de son unité » (Dosse). Mais ici, sans doute, le matérialisme philosophique du signifiant trouve sa limite ultime : un matérialisme sans matière, un signe sans signifié, un sujet sans inscription. Un ordre inassignable ?
La tâche qui consiste à résumer les traits distinctifs du « moment structuraliste » en philosophie est bien une tâche paradoxale.
Les synthèses les plus tardives apparaissent pourtant toujours prématurées : les deux décennies du structuralisme se sont refermées en exhalant un parfum de cendres qui ne tient pas seulement à la fin brutale de plusieurs de ses acteurs les plus en vue (Althusser, Barthes, Foucault), et que ne peuvent dissiper ni la chronique informative (Dosse), ni la polémique (Ferry et Renaut), ni la distance ironique (Descombes), ni le dédain (Bouveresse). Seule la reprise critique et circonstanciée des sources avouées et cachées de cette effervescence polymorphe devrait pouvoir autoriser une évaluation (Pavel, Hottois, Petitot, par exemple).
Les synthèses les plus homogènes sont les plus trompeuses : les noms qu'on peut rassembler sous l'enseigne du structuralisme n'ont coexisté que dans un champ de bataille où les affrontements ont souvent été rudes, qu'ils aient opposé Derrida à Foucault, Deleuze à Lacan, Derrida à Lacan, ou Ricœur à Lévi-Strauss..., pour ne s'en tenir qu'aux oppositions internes au paradigme structuraliste. Chacun des acteurs a suivi un itinéraire irréductible au seul structuralisme : l'althussérisme s'inscrit dans une tradition marxiste infiniment conflictuelle, et, par exemple, dans l'histoire intellectuelle encore mal connue et contradictoire de la déstalinisation. Rétrospectivement, on le voit pris dans la fin de course de la comète du « communisme réel », fin de course dont on n'a pas encore véritablement localisé le point de chute philosophique.... Les attaches lacaniennes à la philosophie sont à la fois incontestables et subordonnées, selon les déclarations les plus récurrentes de Lacan lui-même, à la pratique et à la clinique psychanalytique ; le Lacan des nœuds borroméens n'est plus tout à fait celui du Signifiant des années 1950 et 1960. Les « machines désirantes » de Deleuze et Guatarri avec l'Anti-Œdipe constituent selon certains une résurgence de l'énergie vitale bergsonnienne, peu compatible avec le structuralisme de la discontinuité, de la coupure, du discret...
Les synthèses d'intention les plus prosaïquement honnêtes ne peuvent éviter enfin un forçage de la notion de structure : parce qu'on ne sait pas si le « système » saussurien est bien une structure au sens de Lévi-Strauss, Lacan, Althusser, Deleuze, parce que Derrida n'emprunte jamais la voie structuraliste que par stratégie et tactique, ces dernières pouvant à tout moment se retourner contre le structuralisme lui-même. Parce qu'enfin la notion de structure ne dérive pas de la seule linguistique, ce qui conduit dans une synthèse à établir une série synonymique infiniment contestable de notions qui ont chacune leur consistance, leur origine, voire leur polysémie propres : structure, système, modèle, forme, signe, signifiant, sujet, sémiologie...
On peut malgré tout risquer l'idée que, s'il n'existe pas de « fin mot » des rapports entre structuralisme et philosophie, c'est pour une raison essentielle que le dialogue entre Heidegger et Cassirer mettait en évidence dès 1929 : l'existence et le développement des sciences humaines et, parmi elles, des sciences du langage tout particulièrement, ont eu sur la philosophie un double effet. D'une part, ils laissaient entrevoir la possibilité de répondre sur un autre mode que Kant à la question critique la plus haute de la philosophie des Lumières, celle de la finitude : « Qu'est-ce que l'homme ? » ; d'autre part, ils différaient de manière radicale la réponse à cette question, par la mise en place d'une configuration de pensée dont Ricœur proposa dès 1963 une désignation à Lévi-Strauss, qui ne la récusa point : « un champ transcendantal sans sujet ». Si on prend cette expression à la lettre, le structuralisme aura été une sorte de monstre philosophique. Si on lui restitue en revanche le dynamisme de tension qu'elle recèle, on retrouvera en effet, jusque dans ses excès, l'enthousiasme raisonnable et fécond de ce « moment » qui s'essayait à penser la différence et l'articulation sans rêver l'impossible unité. On peut juger que les « modes » philosophiques poststructurales en France auront manifesté moins de prudence, de vertu, de zèle et parfois de travail : l'humanisme des « nouveaux philosophes » aura été à la fois une digression paresseuse et une régression inquiétante, le postmodernisme aura coupé le lien de la philosophie avec les constructions des sciences, et certains courants des philosophies cognitivistes, par logicisation et naturalisation des structures, semblent parfois tentés de restaurer le rêve vide de l'unité de l'esprit humain.
Jean-Louis CHISS
Christian PUEC
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