احمدي نجاد مرحبا بك
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| | La terreur artificielle - Le chemin de la dictature | |
La terreur artificielle - Le chemin de la dictature - C’est le plus vieux truc du grand livre, datant de l’époque romaine : créer les ennemis dont on a besoin.
Rome, Sparctacus et Crassus, Cicéron et Jules César
En 70 avant Jésus-Christ, un homme très riche et ambitieux politicien en devenir, Marcus Licinius Crassus, voulait diriger Rome. Juste pour vous donner une idée de quel genre d’individu Crassus était, on lui attribue l’invention des brigades d’incendies. Mais dans la version de Crassus, ses esclaves pompiers accouraient sur les lieux d’un incendie, où Crassus offrait d’acheter l’édifice sur le champ pour une fraction de son prix. Si le propriétaire acceptait, les esclaves de Crassus éteignaient le feu. Si le propriétaire refusait, Crassus laissait brûler l’édifice jusqu’au sol. De cette façon, Crassus est éventuellement devenu le plus grand propriétaire de terrains à Rome, et a utilisé une partie de sa richesse pour supporter Jules César contre Cicéron.
En 70 av. J-C, Rome était toujours une république, ce qui imposait des limites très strictes sur ce que les dirigeants pouvaient faire, et le plus important encore sur ce qu’ils ne pouvaient pas faire. Mais Crassus n’avait aucune intention de laisser de telles limites restreindre son pouvoir personnel, et conçu un plan.
Crassus profita de la révolte des esclaves menée par Spartacus pour pouvoir provoquer la terreur dans le cœur de Rome, dont Spartacus avait déjà battu la garnison lors d’une bataille. Mais Spartacus n’avait aucune intention de prendre Rome, une action qu’il savait suicidaire. Spartacus et son groupe ne voulaient plus avoir affaire à l’empire romain et avaient prévu depuis le début de piller assez d’argent à leurs anciens propriétaires italiens pour pouvoir engager un équipage de mercenaires, et voguer vers la liberté.
La dernière chose que Crassus voulait était de voir Spartacus s’échapper par bateau. Il avait besoin d’un ennemi à sa disposition avec lequel il pouvait terroriser Rome pour des gains politiques et personnels. Alors Crassus a payé l’équipage de mercenaires pour qu’ils mettent les voiles sans Spartacus, et a ensuite positionné deux légions romaines de telle façon que Spartacus n’avait plus d’autre choix que de marcher sur Rome.
Terrifiée par l’arrivée imminente de la très crainte armée de gladiateurs, Rome déclara Crassus Préteur. Crassus écrasa alors l’armée de Spartacus, et même si ce fût Pompée qui en prit le crédit, Crassus a été élu Consul de Rome l’année suivante.
Avec cette manœuvre, les Romains ont perdu leur forme de gouvernement Républicain. Bientôt on vit apparaître le premier Triumvirat, composé de Crassus, Pompée et Jules César, suivi par le règne des "quasi divins" Empereurs de Rome.
Les romains ont été manipulés, forcés à rendre leur république, et à accepter le règne des empereurs.
L’opposant politique de Jules César, Cicéron, reconnu pour ses accomplissements littéraires, a joué les mêmes jeux politiques dans sa campagne contre César, en clamant que Rome était devenue victime d’une vaste conspiration interne de droite, dans laquelle tout désir exprimé de voir des législations limiter le gouvernement était traité comme un comportement suspect. Cicéron, pour prouver aux Romains à quel point Rome était devenue dangereuse, a engagé des bandits pour causer autant de troubles que possible, et a fait campagne sur la promesse de mettre fin aux conflits internes s’il était élu et qu’on lui concédait des pouvoirs extraordinaires.
L'Allemagne nazie
Ce que Cicéron n’a pu que rêver réussir, a été réussi avec succès par Adolf Hitler. Élu chancelier d’Allemagne, Hitler, comme Crassus, n’avait pas l’intention de vivre avec sur son pouvoir des limites strictes, imposées par les lois allemandes. À la différence de Cicéron, les gros bras d’Hitler étaient faciles à reconnaître : ils portaient tous les mêmes chemises brunes. Mais leurs actions n’étaient pas différentes de celles de leurs prédécesseurs Romains. Ils ont arrangé des affrontements, allumé des feux, causé autant de problèmes qu’ils le pouvaient, pendant qu’Hitler faisait des discours promettant qu’il pouvait arrêter la vague de terrorisme et de criminalité si on lui accordait des pouvoirs uniques. Ensuite, le Reichstag (le parlement allemand à Berlin) fut brûlé dans une attaque terroriste planifiée.
Les allemands ont été piégés et forcés à abandonner leur république et à accepter le règne total de "Der Führer".
Les écoles financées par l’état ne vous apprendrons jamais cela, mais les gouvernements se servent de façon routinière d’histoires fabriquées pour vendre leurs idées à un public autrement réfractaire. Les romains ont accepté les Empereurs et les allemands ont accepté Hitler non pas parce qu’ils le voulait, mais parce que l’illusion de menace soigneusement créée semblait ne laisser aucun autre choix.
Nos gouvernements aussi utilisent de tels pièges pour créer l’illusion que les gens n’ont pas d’autre choix que d’aller dans la direction où le gouvernement souhaite les voir aller.
Souvenez-vous du Maine
En 1898, le New York World de Joseph Pulitzer et le New York Journal de William Randolph Hearst écrivaient pour soutenir une intervention américaine à Cuba. On rapporte que Hearst avait dépêché un photographe à Cuba pour prendre des images de la guerre se préparant avec l’Espagne. Quand le photographe a demandé de quelle guerre il s’agissait, Hearst aurait répondu "Vous prenez les photographies, et je vais vous fournir la guerre". Hearst a été fidèle à sa parole, et son journal a publié des histoires de grandes atrocités commises contre le peuple cubain, dont la plupart se sont avérées être de complètes fabrications.
Dans la nuit du 15 février 1898, le USS Maine, présent dans le port de La Havane dû au désir des américains de démontrer leur détermination à protéger leurs intérêts, a explosé violemment. Le capitaine Sigsbee, le commandant du Maine, a insisté pour qu’aucune présomption d’attaque ennemie ne soit faite tant qu’il n’y aurait pas eu d’enquête complète sur la cause exacte de l’explosion.
Pour cela, le capitaine Sigsbee a été dénigré dans la presse pour "avoir refusé de voir l’évidence". L’Atlantic Monthly a déclaré sans détour que de supposer que l’explosion soit quelque chose d’autre qu’un acte délibéré de l’Espagne était "complètement à la défiance des lois de la probabilité".
Sous le slogan "Souvenez-vous du Maine" ("Remember the Maine"), les américains sont entrés en guerre contre l’Espagne, gagnant éventuellement les Philippines (et annexant Hawaii au passage).
En 1975, une enquête menée par l’amiral Hyman Rickorer a examiné les données recueillies par un examen de l’épave en 1911, et a conclu qu’il n’y avait aucune preuve d’explosion externe. La cause la plus probable du naufrage était une explosion de poussière de charbon dans un réservoir à charbon placé imprudemment près des munitions du bateau. Les précautions du capitaine Sigsbee étaient bien fondées.
Pearl Harbor
Le président Franklin Delano Roosevelt avait besoin d’une guerre. Il avait besoin de la fièvre d’une guerre majeure pour masquer les symptômes d’une économie toujours gravement malade remontant à la grande dépression (et mutant vers le socialisme au même moment). Roosevelt voulait une guerre avec l’Allemagne pour arrêter Hitler, mais en dépit de plusieurs provocations dans l’Atlantique, le peuple américain, toujours égorgé par une économie problématique, était opposé à toute guerre. Roosevelt a violé la neutralité avec les paiements de prêts, et a même ordonné qu’on coule plusieurs bateaux allemands dans l’Atlantique, mais Hitler refusait d’être provoqué.
Roosevelt avait besoin d’un ennemi, et si l’Amérique ne voulait pas attaquer volontairement cet ennemi, alors quelqu’un devrait être manipulé à attaquer l’Amérique, un peu comme Marcus Licinius Crassus avait manœuvré pour forcer Spartacus à attaquer Rome.
L’ouverture pour la guerre a été créée quand le Japon a signé un accord à trois avec l’Italie et l’Allemagne, alors que tous les partis se promettaient de se défendre mutuellement. Même si Hitler ne déclare jamais la guerre aux États-Unis peu importe la provocation, les moyens de forcer le Japon à le faire sont déjà à portée de main.
La première étape a été d’imposer au Japon des embargos sur le pétrole et l’acier, en utilisant comme prétexte la guerre japonaise sur le continent asiatique. Cela a forcé le Japon à considérer saisir les territoires riches en minéraux et en pétrole de l’Indonésie. Avec les pouvoirs militaires européens épuisés par la guerre en Europe, les États-Unis étaient la seule puissance dans le Pacifique capable d‘empêcher le Japon d’envahir les Indes Orientales Néerlandaises, et en déplaçant la flotte du Pacifique de San Diego à Pearl Harbor, Hawaii, Roosevelt a fait d‘une attaque préemptive sur la flotte la première étape obligatoire de tout plan japonais pour étendre l’empire dans la "région des ressources du sud".
Roosevelt a mis le Japon en boîte complètement, tout comme Crassus avait mis en boîte Spartacus. Le Japon avait besoin de pétrole. Il devait envahir l’Indonésie pour en obtenir, et pour ce faire, il avait premièrement à éliminer la menace de la flotte américaine à Pearl Harbor. Il n’y a jamais vraiment eu d’autre choix qui s’offrait à eux.
Pour enrager le peuple américain autant que possible, Roosevelt avait besoin que la première attaque ouverte du Japon soit aussi sanglante que possible, avec l’apparence d’une attaque surprise, semblable à ce que les japonais avaient déjà fait aux russes. À partir de ce moment jusqu’à l’attaque de Pearl Harbor elle-même, Roosevelt et ses associés se sont assurés que les commandants à Hawaii, le général Short et l’amiral Kimmel, soient gardés le plus possible dans l’obscurité en ce qui concernait les positions de la flotte japonaise et ses intentions, et soient ensuite pointés du doigt pour l’attaque (le congrès a récemment exonéré Short et Kimmel, en leurs rendants leur grade respectif après leur décès).
Mais le comité d’enquête de l’armée a conclu à l’époque, et des documents subséquemment déclassifiés l’ont confirmé, Washington DC savait que l’attaque approchait, savait exactement où se trouvait la flotte japonaise, et savait exactement où elle se dirigeait.
Le 29 novembre, le secrétaire d’état à la navigation a montré au reporter de la United Press Joe Leib un message avec le moment et le lieu de l’attaque, et le New York Times dans son édition spéciale sur Pearl Harbor du 12-08-41, à la page 13, rapportait que la date et le lieu de l’attaque était connu à l’avance!
L’affirmation maintes fois répétée que l’escadrille japonaise avait maintenue le silence radio en se dirigeant vers Hawaii est un mensonge. Entre autres interceptions radios toujours présentes dans les archives de la NSA, se trouve le message non codé envoyé par le cargo japonais Shirya qui dit : "Procédons à la position 30.00 N, 154.20 E. Prévoyons arriver à ce point le 3 décembre".
Le Viet-Nam grâce au USS Maddox
Le président Lyndon Johnson voulait une guerre au Viêt-Nam. Il la voulait pour aider ses amis propriétaires de compagnies d’armement à faire de bonnes affaires. Il en avait besoin pour qu’enfin la CIA et le Pentagone arrête de vouloir envahir Cuba. Et, plus que tout, il avait besoin d’une provocation pour convaincre le peuple américain qu’il n’y avait pas "d’autre choix".
Le 5 août 1964, les journaux partout à travers l’Amérique rapportaient des "attaques renouvelées" contre des destroyers américains opérant en eaux vietnamiennes, spécialement dans le golfe de Tolkin. L’histoire officielle voulait que des vedettes nord-vietnamiennes aient lancé une "attaque non provoquée" sur le USS Maddox alors qu’il était en "patrouille de routine".
La vérité est que le USS Maddox était impliqué dans une agressive opération d’acquisition d’informations en coordination avec des attaques par le Viêt-Nam sud et l’Air Force Laotien contre des cibles nord-vietnamiennes. La vérité est aussi qu’il n’y a pas eu d’attaque de vedettes contre le USS Maddox. Le capitaine John J. Herrick, le commandant de la force opérationnelle dans le golfe, a informé Washington DC que le rapport était le résultat d’un opérateur de sonar "surexcité" qui a intercepté le son des vis de son propre navire et qui a paniqué. Mais même en sachant que ce rapport était faux, Lyndon Johnson est apparu à la télévision nationale ce soir là pour annoncer le début des frappes aériennes contre le Viêt-Nam Nord, des "représailles" à une attaque qui n’a jamais eu lieu.
Le pétrole de l'Iraq
Le président Georges Bush voulait une guerre en Iraq. Comme Crassus, George Bush est motivé par l’argent. Particulièrement l’argent du pétrole. Mais avec l’alliance de l’OPEP qui ne réussit pas à limiter la production de pétrole au Moyen-Orient, le marché était inondé de pétrole extrait du sol de l’Iraq, qui possède plus du tiers des ressources de toute la région.
George voulait une guerre pour arrêter toute cette affluence de pétrole, pour empêcher les prix (et les profits) de diminuer davantage qu’ils ne l’avaient déjà fait. Mais comme Roosevelt, il avait besoin que "l’autre camp" pose la première action.
L’Iraq essayait depuis longtemps d’acquérir un meilleur accès au golfe Persique, et se sentait limitée à une mince bande de terrain le long de la frontière nord du Koweït, ce qui plaçait les intérêts iraquiens à proximité de l’hostile Iran. George Bush, qui armait secrètement l’Iraq pendant sa guerre contre l’Iran, a fait passer le mot par April Glapsie que les États-Unis n’interviendraient pas si Saddam Hussein capturait une plus grande partie du Koweït. Saddam a mordu à l’appât et a envahi.
Évidemment, les américains n’étaient pas prêt de laisser leurs fils et filles risquer leur vie pour des produits du pétrole. Alors George Bush a créé une fausse histoire, en faisant appel à une firme de relations publiques qui s’est enrichie avec l’argent des contribuables en étant les plus industrieux et créatifs menteurs! La firme a concocté une fraude monumentale dans laquelle la fille de l’ambassadeur koweïtien aux États-Unis est apparue à la télévision en prétendant être infirmière, et a raconté une histoire d’horreur dans laquelle des troupes iraquiennes avaient supposément pillé les incubateurs d’un hôpital koweïtien, en laissant les bébés prématurés à une mort certaine sur un plancher froid. Les médias, qui étaient partie prenante du manège depuis le début, n’ont jamais même cru bon demander pourquoi "l’infirmière" n’était pas intervenu pour ramasser les bébés et les mettre au chaud.
Enragés par l’histoire des incubateurs, les américains ont supporté l’opération Tempête du Désert, qui n’a jamais retiré Saddam Hussein du pouvoir, mais qui a retiré le pétrole koweïtien du marché pour près de 2 ans, et qui a limité, et limite encore, les exportations de pétrole de l’Iraq à ce jour. Que nos fils et filles soient revenus à la maison avec de sérieuses et récurrentes maladies n’était apparemment pas un prix trop cher payé pour une augmentation des profits du pétrole.
Horreurs en Bosnie
Suite à la victoire en Iraq, déjà une autre guerre s’est avérée être dans l’offre des régions riches en minéraux de la Bosnie. Encore une fois, une fausseté a été utilisée pour établir le support à l’action militaire. La photo de Fikret Alic prise à travers une clôture de barbelés a été utilisée pour "prouver" l’existence de "camps de concentrations" modernes. Comme la manchette des journaux, "Belsen 92", l’indique, toutes les associations possibles avec les horreurs nazies ont été faites pour vendre la nécessité d’envoyer davantage de troupes américaines dans une nation étrangère.
Mais quand des journalistes allemands sont allé à Trnopolje, le site du supposé camp de concentration pour tourner un documentaire, ils ont découvert que la photo était fausse! Le camp de Trnopolje n’était pas un camp de concentration mais un centre de réfugiés. Il n’était pas non plus entouré de barbelés. Un examen minutieux de la photo originale a révélé que le photographe avait pris l’image à travers une section de clôture brisée qui entourait un cabanon. C’était le photographe qui était à l’intérieur, en visant à l’extérieur vers les réfugiés.
Une fois de plus, les américains ont été piégés et forcés à supporter des actions qu’ils n’auraient autrement peut-être pas approuvées.
Les années Clinton
Même si plusieurs présidents américains ont volontairement provoqué des guerres pour des bénéfices personnels, il est possible qu’aucun président n’ait poussé cela à l’extrême comme l’a fait Bill Clinton.
En coïncidence avec l’attendue déclaration publique de Monica Lewinsky suite à son témoignage, Bill Clinton a ordonné une attaque au missile balistique sur le Soudan et l’Afghanistan, clamant avoir eu des preuves irréfutables que "le méchant de service" (et ancien allié Afghan) Ossama Ben Laden créait des armes chimiques terroristes à ces endroits.
L’examen des photos des débris n’a révélé aucune des structures qu’on peut s’attendre à trouver dans un laboratoire qui manipulait des matériaux employés pour des armes mortelles. Les assurances de la CIA qu’ils avaient testé positivement des échantillons de sol aux agents chimiques se sont écroulées lorsqu’il a été révélé qu’il n’y avait pas de zone terreuse à aire ouverte où que ce soit près de l’installation préalablement bombardée. Le Soudan a demandé que des observateurs internationaux viennent tester les restes de l’usine pour trouver des signes du gaz toxique dont Clinton dénonçait la présence. Aucun ne fut trouvé. L’installation soudanaise était une inoffensive usine d’aspirine, et le propriétaire a poursuivi pour dommages.
Une inspection ultérieure du site en Afghanistan a révélé qu’il s’agissait d’une Mosquée.
Pendant ce temps, de retour au Kosovo, des histoires de génocides et d’atrocités inondaient les médias (juste à temps pour distraire de l’embarrassement soudanais), aussi sinistres et sensationnelles, et souvent aussi fictionnelles que la plupart de histoires de William Randolph Hearst à propos des atrocités faites aux cubains.
Encore une fois, le gouvernement et les médias mentaient aux américains. Une photo a été montrée sur tous les réseaux américains, supposément un des "migs" de Slobodan Milosevic, abattu lors d’une attaque sur des civils. L’observation attentive de la photo révèle des inscription en anglais!
Comme en Allemagne sous le chancelier Hitler, il y a eu des événements dans notre nation qui alimentent la peur dans le cœur des citoyens, comme le premier attentat à la bombe du World Trade Center, celui du Federal Building d’Oklahoma City, et la bombe du Parc Olympique (bien minutée pour détourner l’attention des médias de l’attaque en plein ciel du vol 800 de la TWA). Les médias ont été très rapides en jetant le blâme de tels événements sur les "radicaux", les "subversifs", la "vaste conspiration de la droite", et d’autres "ennemis vivant en notre sein"; des mensonges qui ne sont pas différents de ceux utilisés par Cicéron et Hitler.
En y regardant bien, de tels événements "de terrorisme domestique" n’apparaissent pas être ce qu’ils sont en réalité. Le FBI avait un informateur dans le World Trade Center lors du premier attentat à la bombe, Emad Slam, qui a offert de saboter les bombes. Le FBI lui a dit "non". Le supposé "point chaud" du séparatisme blanc d’Elohim City, la résidence occasionnelle de Tim McVeigh dans les semaines précédant l’attentat d’Oklahoma City, a été fondée et tenue par un informateur du FBI!
Et personne n’a jamais vraiment expliqué ce que le deuxième camion "Ryder" faisait dans un camp secret à mi-chemin entre Elohim City et Oklahoma City deux semaines avant l’attentat.
Et maintenant...
Alors, voilà où nous en sommes aujourd’hui. Comme les romains du temps de Crassus et de Cicéron, ou les allemands sous un Hitler nouvellement élu, nous sommes avertis qu’un dangereux ennemi nous menace; implacable, invisible, omniprésent et invulnérable tant et aussi longtemps que notre gouvernement est restreint par cette vieille et inutile charte des droits. Déjà certains articles sont apparus débattant de la justification de certaines "mesures extraordinaires" (exemple: torture) sous certaines circonstances comme celles auxquelles nous faisons semble-t-il face.
Comme ce fut le cas à Rome et en Allemagne, le gouvernement continu à plaider auprès du public une expansion de ses pouvoirs et de son autorité, pour "faire face à la crise".
Toutefois, comme les chronomètres Casio sont paradés devant les caméras aux tons sénatoriaux des terribles avertissements des têtes dirigeantes, il est légitime de questionner à quel point la crise est réelle, et à quel point elle est le résultat d’une machination politique de nos propres dirigeants.
Est-ce que les terroristes sont vraiment une menace, ou juste des acteurs engagés, avec des bombes et des montres Casio, payés par Cicéron et habillés par des chemises brunes données par Hitler?
Est-ce que le terrorisme aux États-Unis vient vraiment de l’extérieur, ou est-ce une production planifiée, dessinée pour faire croire aux américains qu’ils n’ont d’autre choix que d’abandonner la république et d’accepter le régime totalitaire du nouvel empereur, ou d’un nouveau führer?
Une fois perdue, les romains n’ont jamais retrouvé leur république. Une fois perdue, les allemands n’ont jamais retrouvé leur république. Dans les deux cas, la nation s'est totalement effondrée avant que la "liberté" ne soit rendue au peuple.
Souvenez vous de cela lorsque que Crassus vous dira que Spartacus approche.
Souvenez vous de cela quand les bandits dans les rues agiront de façon clairement dessinée pour provoquer la peur.
Souvenez vous de cela lorsque le Reichstag brûlera.
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