Une nouvelle étude démontre que la taille compte pour les femmes
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فدوى فريق العمـــــل *****
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الموقع : رئيسة ومنسقة القسم الانكليزيتاريخ التسجيل : 07/12/2010 وســــــــــام النشــــــــــــــاط : 7
06032016
Une nouvelle étude démontre que la taille compte pour les femmes
Une nouvelle étude menée par des chercheurs australiens montre que les hommes bien fournis seraient plus attrayants pour les femmes, mais jusqu’à un certain point.
Comme d’autres caractéristiques physiques, les organes génitaux mâles sont soumis à la sélection sexuelle. Et en fait, les pénis sont connus pour évoluer rapidement, en raison des fortes préférences de la sélection qui sont en jeu.
Et en effet, les mâles humains ne sont pas à l’abri de cela, surtout lorsque l’on considère notre évolution avant l’introduction des habits. Compte tenu de notre position debout et du port d’un pénis non rétractable, il aurait été littéralement placé aux 4 vents, à la libre évaluation des femmes potentielles. Par la suite, les biologistes ont soupçonné que le pénis de l’homme, qui est plus long et plus large que ceux des autres primates, a atteint sa configuration actuelle en raison de la sélection sexuelle.
Pour voir si tel était le cas, une équipe australienne de chercheurs, dirigée par Brian Mautz, a mené une étude dans laquelle 105 femmes hétérosexuelles dont l’âge varie de 18 à 53 ans et auxquelles on a montré une série d’images grandeur nature, découpées, générées par ordinateur, d’hommes de différente taille, qui ont tous été présenté dans un état, comment dire, détendu. Plus de 340 images différentes, qui ont été tirées d’études concernant des hommes italiens, ont été présentées aux femmes sur un écran de cinéma, en leur expliquant que l’étude visait à mesurer “l’attractivité des hommes."
Chaque participante a pu également regarder un ensemble aléatoire de 53 représentations et on leur a demandé d’évaluer leur pouvoir d’attraction en tant que potentiels compagnons sexuels sur une échelle de 1 à 7.
Ce que les chercheurs ont appris, c’est que la taille du pénis avait de l’importance pour les femmes lors de l’évaluation de l’attractivité masculine. Mais cet attrait dépend aussi d’autres facteurs, y compris la forme et la hauteur du corps.
Et en fait, la taille du pénis est tout aussi importante pour les femmes que la hauteur; un grand pénis ainsi qu’une grande taille ont eu un effet positif, presque identique, sur l’attractivité masculine. Les chercheurs ont également mesuré un effet positif de la taille du pénis sur l’attractivité des hommes avec un corps aux formes plus masculines, comme de larges épaules.
Une augmentation dans la taille du pénis est aussi un plus grand bénéfice pour l’attractivité, mais tout est une question de proportion à garder et un plus petit pénis n’était pas un si grand préjudice. Par exemple, un modèle qui faisait 185 cm de hauteur avec un pénis de 7 cm de long a obtenu un score moyen d’attractivité. Pour obtenir ce même résultat, un modèle de 170 cm avait besoin d’un pénis d’environ 11 cm de longueur. Augmentez la taille du pénis du plus grand gars d’un centimètre, et l’homme plus petit doit doubler cette taille pour obtenir le même score d’attractivité. Après cela, l’homme plus petit ne peut plus continuer la compétition. Pour vraiment profiter des avantages d’un grand pénis, l’homme doit être attirant, en premier lieu, selon Mautz. S’il ne l’est pas, même le plus grand pénis du monde ne lui fera pas beaucoup de bien.
Mais les chercheurs ont également découvert qu’il peut être trop gros et trop grand. Une fois la longueur du pénis dépassée à un certain point, environ 7,6 cm, l’attractivité commence à baisser.
Les chercheurs ont présenté leur document comme une preuve supplémentaire que la préférence des femmes a en fait favorisé l’évolution d’un plus grand pénis chez l’homme.
En outre, l’étude montre qu’il arrive un moment pour les femmes où des caractéristiques extrêmes violent un sens de l’esthétique des proportionnalités physique considérées comme normales. Des traits excessivement exagérés, même ceux qui sont importants pour l’attractivité, cessent d’être attrayants, car ils peuvent indiquer un problème du point de vue de la capacité de reproduction.
Bien qu’intéressant, et peut-être un peu révélateur, l’étude n’est pas sans poser de problèmes. Tout d’abord, il y a un risque de surestimation de ces résultats. Globalement, la forme du corps représentait environ 80% de la variation des scores d’attractivité, la taille du pénis environ 6%, et la hauteur environ 5%. Et comme les chercheurs eux-mêmes le reconnaissent, il est possible que les participantes aient utilisé leurs précédentes expériences sexuelles pour inférer un lien entre la taille du pénis et le plaisir sexuel. En d’autres termes, elles n’étaient pas nécessairement attirées physiquement par ces hommes, mais elles étaient plutôt consciemment ou inconsciemment biaisées en faveur des hommes bien dotés sur la base de précédentes expériences sexuelles (qui, curieusement, pourrait encore être considéré comme une forme d’attraction).
En outre, l’étude n’a pas examiné l’attirance sexuelle concernant l’érection du pénis, le papier s’est strictement concentré sur la "sélection sexuelle précopulatoire" et sur “le rôle dans l’évolution des traits génitaux”. Il n’est pas déraisonnable de penser que la sélection sexuelle copulatoire joue également un rôle important dans tout cela.
Enfin, l’étude souffre de préjugés culturels. La recherche aurait dû inclure des femmes d’autres pays et cultures, en particulier les cultures indigènes où un habillage complet n’est généralement pas porté.
Les explications de Michael D. Jennions, de l’Université australienne La Trobe, qui a participé à l’étude :